J’ai finalement fini de lire Cartes postales d’Asie, par la journaliste (communicatrice?) Marie-Julie Gagnon. C’est un récit d’un point de vue très familier, écrit comme des e-mails à ses proches lors de ses voyages. Ça se rapproche peut-être plus du format du blogue, quand on y pense.
Bien que le titre porterait à croire à une distribution égale entre les pays visités par l’auteure, une bonne partie du récit se passe en fait à Taiwan, où Marie-Julie a enseigné l’anglais dans une école catholique à Keelung, une ville à une trentaine de kilomètres de Taipei. Avant de savoir qu’elle avait écrit un livre, j’ai su que je n’étais pas le premier résident québécois à être allé au festival de Spring Scream à Kenting (sur Taxibrousse).
Ses péripéties à Taiwan m’ont rappelé de bien bons souvenirs : même si je n’ai fait que passé à Taiwan (juste sept jours), les marchés de nuit (à propos desquels je vais bientôt bloguer), du bubble tea, des 7-Eleven (ils en font une vraie épidémie là-bas) et des surprenants paysages (Taipei est bâti très plate, et est entourée de montagnes).
C’est disponible chez Renaud-Bray, et je vous le conseille fortement!
Wow! Merci Cédric! C’est gentil, ça!
J’ai adoré Cartes postales d’Asie! Ça m’a donné envie de tout vendre pour aller enseigner l’anglais à Taiwan… J’y songe encore d’ailleurs!!!
Vous pouvez aller au bout du monde, ou aux quatre coins de la terre, vous serez encore en train de vous balader sur une planète où tout, finalement se ressemble.
Un homme ( ou une femme ) quel (le) que soit son origine, est toujours un homme (ou une femme); tous les cocotiers du monde penchent toujours dans la même direction…. ( C’est à dire vers ailleurs). Bibi, pour voyager, ferme les yeux, et imagine. Mes palmiers, et mes sirènes sont toujours les plus beaux et hors de ce monde.