Les gens qui ont écrit l’article possèdent probablement une meilleure connaissance des relations internationales, mais ça me choque à chaque fois de devoir me taper les prénoms à la place des noms de famille. En chinois, LE NOM DE FAMILLE S’ÉCRIT DEVANT LE PRÉNOM. Pis c’est pas si dûr de se rappeler la règle que … Continue reading “Un autre « Obama-Jintao » et j’vais péter ma coche”
Les gens qui ont écrit l’article possèdent probablement une meilleure connaissance des relations internationales, mais ça me choque à chaque fois de devoir me taper les prénoms à la place des noms de famille. En chinois, LE NOM DE FAMILLE S’ÉCRIT DEVANT LE PRÉNOM. Pis c’est pas si dûr de se rappeler la règle que le nom de famille est composé d’un seul caractère, et donc d’une syllabe.
Voilà qui est dit.
Votre serviteur a commencé à collaborer avec le
centre de journalisme et d’études médiatiques faisant partie de l’Université de Hong Kong. Autrement connu sous l’acronyme de JMSC, cette école dont la langue d’enseignement est l’anglais se veut le point névralgique où se touchent les mondes médiatiques anglophone (international) et sinophone (chinois). Les profs qui y enseignent sont à la fois des vétérans journalistes de Chine continentale, de Hong Kong ou d’origine internationale (anglais, indiens, japonais, hongrois, américains, etc. — et c’est juste ceux que j’ai rencontrés), et des parcours non moins intéressants.
J’en parle, non pas par souci d’auto-promo, mais bien plutôt pour contribuer à faire connaître le nom de l’école, car celle-ci est en période de recrutement, pour ses programmes de 1er et de 2e cycle. La maîtrise en journalisme se veut un genre de MBA pour les gens en relations internationales, comm, et médias.
Donc voici le lien: http://jmsc.hku.hk/
C’est pas donné, de notre perspective québécoise de quasi-gratuité scolaire, mais ça en vaut franchement le coup d’oeil si on s’intéresse à la Chine.
Pis espérons-le que des grossières erreurs comme ci-dessus seront chose du passé… La Chine a l’air d’un pays lointain du point de vue du Québec. Pourtant, j’ai rencontré à maintes fois des Québécois qui vivent à Hong Kong et qui pognent à quel point ce pays multiforme, dynamique, devrait être mieux compris afin de vivre avec.
For the average cultural-centric Quebecker, the Chinese community is of no threat and little more than a quaint place for exotic remedies, unusual pastries and food and coolie hats. There’s no need to make an effort to study proper Chinese culture which is fine since it is no one’s obligation to study and learn someone else’s culture.
All one can do is with every opportunity, explain and share and correct.
Ooh là faut quand même pas toute une crise.
Pour ce qui est de HKU, j’espère que votre expérience dans le système d’éducation hongkongais est meilleur que le mien.