Regarde les Chinois : Jason Lu

Posted on

Cette semaine, dans le cadre de Regarde les Chinois, nous rencontrons Jason Lu, 26 ans, co-propriétaire du restaurant Lu Mama. Samedi dernier, je me suis rendu sur l’heure du midi à son restaurant, rue Ste-Catherine dans le « Chinatown II » à l’ouest de Concordia, et nous avons discuté à bâtons rompus de son restaurant … Continue reading “Regarde les Chinois : Jason Lu”

Jason Lu

Cette semaine, dans le cadre de Regarde les Chinois, nous rencontrons Jason Lu, 26 ans, co-propriétaire du restaurant Lu Mama. Samedi dernier, je me suis rendu sur l’heure du midi à son restaurant, rue Ste-Catherine dans le « Chinatown II » à l’ouest de Concordia, et nous avons discuté à bâtons rompus de son restaurant (et d’autres restaurants), de religion, de bouffe chinoise, grandir à Montréal.

This week, for Regarde les Chinois, we meet with Jason Lu, 26, co-owner of Restaurant Lu Mama. Last Saturday, on lunch hour, I went to his restaurant on Ste-Catherine in “Chinatown II”, west of Concordia, and we talked about his restaurant (and other ones), religion, Chinese food, growing up in Montreal.

Language of the interview / langue de l’interview: French / français

Continue reading “Regarde les Chinois : Jason Lu”

Comment célébrerez-vous le Nouvel an chinois ?

Posted on

L’année du rat débute le 7 février prochain. C’est probablement le signe le plus inusité: qui voudrait être né sous le signe du rat? Pourtant, les rats ont toujours cohabité avec l’être humain, dans nos greniers, nos maisons, et méritent amplement leur place dans l’astrologie inventée par les Chinois (alors, pas d’année du chat?). CommeLesChinois.ca … Continue reading “Comment célébrerez-vous le Nouvel an chinois ?”

White mouse in the crowd

L’année du rat débute le 7 février prochain. C’est probablement le signe le plus inusité: qui voudrait être né sous le signe du rat? Pourtant, les rats ont toujours cohabité avec l’être humain, dans nos greniers, nos maisons, et méritent amplement leur place dans l’astrologie inventée par les Chinois (alors, pas d’année du chat?). CommeLesChinois.ca vous demande si vous célébrerez le Nouvel an chinois. Si oui, de quelle façon ?

The Year of the Rat starts on February 7th, 2008. It is probably the sign that is the most out of the ordinary: how would someone want to be born on a year associated with an animal such as the rat? Despite that, rats have always been close to human beings throughout history, in our granaries, our houses, and fully deserve a spot in the astrology invented by the Chinese (so, what about a year of the cat?). CommeLesChinois.ca asks you whether you will celebrate Chinese New Year. If yes, how so?

Madame Pearl’s Cough Syrup

Posted on

I bought this in Chinatown, at the back of the Ruby Rouge mall… According to my grandfather, it is a very popular brand in Hong Kong, although he does not use it himself. On the box, it says that it contains, per 30ml: Dextromethorphan HBr: 28.5 mg Ephedrine HCl: 7.5 mg Chlorpheniramine Maleate: 4.0 mg … Continue reading “Madame Pearl’s Cough Syrup”

I bought this in Chinatown, at the back of the Ruby Rouge mall…

Madame Pearl's Cough Syrup

According to my grandfather, it is a very popular brand in Hong Kong, although he does not use it himself. On the box, it says that it contains, per 30ml:

When I checked my Robitussin Cough & Cold (Extra Strength), this was what we had in medicinal ingredients adjusted for the same volume of 30 ml (was for 5 ml on box):

  • Dextromethorphan HBr: 90 mg
  • Pseudoephedrine HCl: 180 mg
  • Guaifenesin: 1200 mg

The Robitussin was perhaps Extra Strength, but is a lot more potent. Price-wise, the Madame Pearl’s was 5$ for 120 ml and I forgot how much the Robitussin was, but probably around $8-10 for 100 ml.

This article is a repost of my article published in Smurfmatic in November, last time around I had a cold.

Regarde les Chinois : Robert Parungao

Posted on

Pour Regarde les Chinois cette semaine, on a parcouru la ville en métro-bus-pied avec Robert Parungao, un Vancouverois de quatrième génération, d’origine chinoise et philippine, maintenant étudiant à la maîtrise en sociologie à l’Université Concordia à Montréal. Fondateur du Projet Nouvelles Voix à Vancouver (et maintenant à Montréal), on a parlé d’histoire Canadienne Chinoise, bien … Continue reading “Regarde les Chinois : Robert Parungao”

Robert Parungao

Pour Regarde les Chinois cette semaine, on a parcouru la ville en métro-bus-pied avec Robert Parungao, un Vancouverois de quatrième génération, d’origine chinoise et philippine, maintenant étudiant à la maîtrise en sociologie à l’Université Concordia à Montréal. Fondateur du Projet Nouvelles Voix à Vancouver (et maintenant à Montréal), on a parlé d’histoire Canadienne Chinoise, bien sûr, mais également de jeux vidéos (Robert a fait une thèse là-dessus au 1er cycle), du groupe punk rock duquel il a fait partie, de propagande olympique, de végétarisme.

For this week’s Regarde les Chinois, we went around town in metro-bus-walk with Robert Parungao, a fourth-generation Vancouverite, of Chinese and Filipino origin, currently a masters student in sociology at Concordia University in Montreal. Founder of the New Voices Project, we of course talked about Chinese Canadian history, but also of video games (topic of Robert’s undergraduate thesis), the punk rock band that he was part of, Olympics propaganda and vegetarianism.

Language of the interview / langue de l’interview: English / anglais

Continue reading “Regarde les Chinois : Robert Parungao”

Chinatown’s Jewish History

Posted on

Today, my friend Chris DeWolf wrote an article in the Gazette about Montreal Chinatown’s Jewish past: If Chinatown’s Jewish heritage isn’t obvious, it’s probably because it has been erased by time and redevelopment, swept away like Chenneville St. and its quietly imposing synagogue. (…) Located on a small street (now shortened and written as Cheneville) … Continue reading “Chinatown’s Jewish History”

Jewish Chinatown

Today, my friend Chris DeWolf wrote an article in the Gazette about Montreal Chinatown’s Jewish past:

If Chinatown’s Jewish heritage isn’t obvious, it’s probably because it has been erased by time and redevelopment, swept away like Chenneville St. and its quietly imposing synagogue.

(…)

Located on a small street (now shortened and written as Cheneville) between St. Urbain and Jeanne Mance Sts., below Dorchester (now René Lévesque) Blvd. and above Craig (now St. Antoine) St., it was built in 1838 by Montreal’s oldest Jewish congregation, Shearith Israel.

In 1887, when Shearith Israel moved to a much larger home on Stanley St. – following the westward migration of Montreal’s older generations of Canadian-born, anglicized Jews – the synagogue was rented by Beth David, a congregation of Romanian immigrants who arrived in the late 19th century, part of a huge wave of Jewish immigrants from eastern Europe. Over the next three decades, the area around present-day Chinatown – with Bleury St. to the west, Sanguinet St. to the east, Craig to the south and Ontario St. to the north – became the heart of Jewish Montreal, a haven for Yiddish-speaking immigrants who established businesses, synagogues and many of the Jewish institutions that still exist.

Israel Medresh, a journalist for the Kanader Adler, a Yiddish-language daily newspaper, sketched a portrait of the neighbourhood in his 1947 book Montreal Foun Nekhtn, translated into English in 2000 as Montreal of Yesterday.

“The corner of St. Urbain and Dorchester was the very heart of the Jewish neighbourhood,” he wrote. “Nearby was Dufferin Park, then a ‘Jewish park’ where Jewish immigrants went to breathe the fresh air, meet their landslayt (compatriots), hear the latest news, look for work and read the newspapers.”

Just a few blocks from Dufferin Park stood seven synagogues, the first Young Men’s Hebrew Association and a number of important community and political organizations like the Baron de Hirsch Institute, the Hebrew Benevolent Society and the Jewish Labour Temple.

General Tao’ing

Posted on

J’ai toujours beaucoup aimé La Fin du Monde est à Sept Heures, émission diffusée quotidiennement par TQS à ses beaux jours. Dans la dernière édition de leur nouvelle émission de nouvelles farciales, 3600 secondes d’extase (diffusée à la télé de Radio-Canada), Marc Labrèche et Paul Houde nous font l’historique hilarant, désinformatif du fameux Poulet Général … Continue reading “General Tao’ing”

3600 secondes d’extase - Général Tao, avec Paul Houde

J’ai toujours beaucoup aimé La Fin du Monde est à Sept Heures, émission diffusée quotidiennement par TQS à ses beaux jours. Dans la dernière édition de leur nouvelle émission de nouvelles farciales, 3600 secondes d’extase (diffusée à la télé de Radio-Canada), Marc Labrèche et Paul Houde nous font l’historique hilarant, désinformatif du fameux Poulet Général Tao…

Portion #2 de l’émission du 26 janvier 2008

Regarde les Chinois : Simon Law

Posted on

Dans sa section Regarde les Chinois, ce blogue s’entretient avec des personnes connues, ou moins connues, de la communauté chinoise. Cette semaine, nous rencontrons Simon Law, 26 ans, que j’ai connu il y a deux ans, alors qu’il prenait des photos lors d’un spectacle de nu-jazz sur le Plateau. Samedi dernier, je me suis assis … Continue reading “Regarde les Chinois : Simon Law”

Simon Law

Dans sa section Regarde les Chinois, ce blogue s’entretient avec des personnes connues, ou moins connues, de la communauté chinoise. Cette semaine, nous rencontrons Simon Law, 26 ans, que j’ai connu il y a deux ans, alors qu’il prenait des photos lors d’un spectacle de nu-jazz sur le Plateau. Samedi dernier, je me suis assis avec lui au Club Social, sur St-Viateur, pour parler de BarCamps, de gestion numérique des droits (DRM), de Shenzhen, de la perception de l’homme (et donc de la femme) asiatique en Occident, et de ce qu’il trouve de si bien avec cette ville qu’on appelle Montréal.

In its Regarde les Chinois section, this blog speaks with known and lesser known people from the Chinese community. This week, we meet 26-year old Simon Law, who I met two years ago in a nu-jazz show on the Plateau. Last Saturday, I sat with him at Club Social, on St-Viateur, to talk about BarCamps, digital rights management (DRM), Shenzhen, the perception of Asian man (and therefore woman) in the West, and what he finds so enjoyable about this city called Montreal.

Language of the interview / langue de l’interview: English / anglais

Continue reading “Regarde les Chinois : Simon Law”

Projet Nouvelles Voix à Radio-Canada International

Posted on

Zizian ZHONG du New Voices Project (Vancouver) s’est fait interviewer par l’émission en langue chinoise de Radio-Canada International: http://www.rcinet.ca/rci/ch/dossiers/50616.shtml (en chinois) http://www.rcinet.ca/rci/console/index.asp?langue=fr&IDExtraits=721811 (lien direct) Le New Voices Project (Projet Nouvelles Voix) vise à publier une anthologie d’oeuvres littéraires et artistiques non traduites, créées par des Canadiens d’origine chinoise. Robert Parungao, l’un des fondateurs du projet … Continue reading “Projet Nouvelles Voix à Radio-Canada International”

New Voices Project Vancouver team

Zizian ZHONG du New Voices Project (Vancouver) s’est fait interviewer par l’émission en langue chinoise de Radio-Canada International:

http://www.rcinet.ca/rci/ch/dossiers/50616.shtml (en chinois)
http://www.rcinet.ca/rci/console/index.asp?langue=fr&IDExtraits=721811 (lien direct)

Le New Voices Project (Projet Nouvelles Voix) vise à publier une anthologie d’oeuvres littéraires et artistiques non traduites, créées par des Canadiens d’origine chinoise. Robert Parungao, l’un des fondateurs du projet original vancouverois (première anthologie publiée en 2007), a depuis lors déménagé ses pénates à Montréal. Il a commencé depuis novembre 2007 à assembler une équipe dans l’est du pays qui travaillera à une nouvelle édition du Projet Nouvelles Voix qui entre autres choses, incorporera le français (l’auteur principal de ce blogue fait également partie de l’équipe).

Le groupe montréalais se réunira au café Idée Magique de Concordia, le samedi 26 janvier 2008, à 15 h.

Montreal journalist HU Xian 胡宪 in Afghanistan

Posted on

Photo by Xian HU, Journal Chinois Sept Days “My Chinese face came as an advantage”, says 54-year old HU Xian (胡宪), a reporter for Chinese-language newspaper Sept Days (七天网) who just returned from an assignment in Kabul, and who will be telling her story at a seminar organized at the Montreal Chinese Cultural Centre on … Continue reading “Montreal journalist HU Xian 胡宪 in Afghanistan”

和阿富汗的孩子们
Photo by Xian HU, Journal Chinois Sept Days

“My Chinese face came as an advantage”, says 54-year old HU Xian (胡宪), a reporter for Chinese-language newspaper Sept Days (七天网) who just returned from an assignment in Kabul, and who will be telling her story at a seminar organized at the Montreal Chinese Cultural Centre on February 10th.

When the Canadian Defence Ministry invited Sept Days to send a journalist to Afghanistan, and later withdrew it (on the basis that it was becoming too dangerous), the Montreal-based weekly decided to send Hu anyways on an assignment to one of the most dangerous countries in the world. She set off for Kabul and arrived there by plane on December 20th, 2007, forgoing the original plan to fly into China and take a land route (impracticable because of the winter). Unlike surely most other Canadian journalists who were in Afghanistan in the past years, she was not embedded with Canadian troops, and could thus freely go wherever she wanted to – as long as it was in Kabul. Her Chinese appearance, and the fact that she is a woman, gave her special access to local folk that she met, which included Afghan women and private residences.

Early last summer, Hu started looking into the opinion of new immigrants of Chinese origin, whose numbers in Canada are exploding in the past decade, on the war in Afghanistan. “I wanted to see what Chinese people (in Montreal) thought of the war. So in July, I interviewed over 70 people and realized that 79% of the respondents were against the Canadian presence in that country”, tells the journalist who emigrated to Canada 18 years ago, and obtained citizenship two years later. According to opinion polls published in summer 2007 (Radio-Canada.ca), 1 out of 2 Canadians disapproved of the war in Afghanistan, while this proportion reaches two-thirds in Quebec. “I think that Chinese people, we have our own values, and there must be something about this”, which certainly echoes the justification given by many Quebecers who don’t support the conflict.

In Kabul, Ms. Hu stayed with friends of friends, journalists from China who came after the war. Through these contacts, she encountered a whole set of the local population, among which were a Chinese restaurant owner (who was Chinese), war widows running a carpentry centre and even the only Afghani female pilot (since her sister died), who flew a chopper.

The first article that Hu wrote upon her return was her change of opinion about the burqa, the traditional Afghan dress covering their wearers under them. Hu recalls: “Of course, I originally thought that the burqa was a symbol of oppression.” She met women in the city who were not happy when questioned about their wearing of the burqa. In the mountains, a woman said that her grandmother and mother wore it, that she wore it by choice, and that it was appropriate in her mind that she should “only be pretty for their husband”. In last week’s edition of Sept Days, the former university lecturer recalls her interview with a local journalist, whose first words to her were “Afghanistan’s situation is terrible“.

Sept Days expects a mainly Chinese-speaking audience to attend. However, her series of articles definitely reaches to mainstream society: “We have an opinion; we pay taxes too! What we want to say is that we are there too”.

HU Xian will be speaking at the 200-seat auditorium at the Montreal Cultural Centre in Chinatown (1088 Clark). She took over a hundred pictures while in Kabul, some of which will be showcased during the event. February 10th, 2008, 3 to 5PM. Tickets are 20$ on pre-sale and 30$ at the door. Half-price for students. Information (PDF file).

***

Bird's eye view of Kabul from TV Mountain
Photo by Xian HU, Journal Chinois Sept Days

« Mon visage chinois fût certainement un avantage », raconte HU Xian (胡宪), une journaliste de 54 ans pour le journal chinois Sept Days (七天网), juste de retour d’un voyage à Kaboul, et qui expliquera son histoire à une conférence organisée au Centre Culturel de Montréal, le 10 février prochain.

Après que le Ministère de la Défense du Canada eût invité Sept Days en Afghanistan, puis ensuite retiré l’offre (prétextant que le climat devenait trop volatile en Afghanistan), l’hebdomadaire montréalais décida de quand même envoyer Mme. Hu en reportage dans l’un des pays les plus dangereux du monde. Elle partit pour Kaboul et arriva en avion le 20 décembre 2007, laissant de côté le plan original de s’envoler vers la Chine et d’emprunter une voie terrestre (impraticable à cause de l’hiver). Contrairement à la plupart des journalistes canadiens partis en Afghanistan ces derniers temps, elle ne fût pas insérée dans une unité des forces canadiennes, et pouvait donc se balader où elle voulait – en autant que ça soit à l’intérieur de Kaboul. Son apparence chinoise, et puis le fait qu’elle soit une femme, lui donna un accès spécial chez les habitants qu’elle rencontra, incluant aux femmes afghanes et à des résidences privées.

Tôt l’été passé, Hu a commencé à se questionner sur l’opinion de la guerre en Afghanistan des nouveaux immigrants d’origine chinoise, dont les chiffres ont explosé lors de la dernière décennie. « Je voulais savoir ce que les Chinois (à Montréal) pensaient de la guerre. Alors, en juillet, j’ai interviewé 70 personnes et j’ai réalisé que 79% des répondants étaient contre la présence canadienne dans ce pays », dit la journaliste qui est arrivée au Canada il y a 18 ans, et est devenue citoyenne deux ans plus tard. Selon des sondages publiés lors de l’été 2007 (Radio-Canada.ca), 1 Canadien sur 2 était en désaccord avec la guerre en Afghanistan, tandis que cette proportion atteignait les deux-tiers au Québec. « Je pense que les Chinois, nous avons nos propres valeurs, qu’il doit y avoir quelque chose par rapport à cela », ce qui fait écho au discours des opposants à la guerre dans la population québécoise.

À Kaboul, Mme Hu est demeurée chez des amis d’amis, des journalistes de Chine qui sont venus après la guerre. À travers ces contacts, elle a pu rencontrer tout un échantillon de la population locale, incluant un propriétaire de restaurant chinois (qui était chinois), des veuves de la guerre opérant un centre de charpenterie, et même la seule femme pilote d’hélicoptère afghane (depuis que sa soeur est morte).

Le premier article que Hu a écrit à son retour fût sur la façon dont elle changea d’opinion à propos du port de la bourka, robe traditionelle couvrant entièrement celle qui la porte. « Initialement, je croyais bien sûr que la bourka était un symbole d’oppression. » Elle rencontra des femmes dans la ville qui ne fûrent pas heureuses qu’on questionne leur choix de la bourka. Dans les montagnes, une femme lui dit que sa grand-mère et sa mère l’ont portée, et que c’était approprié dans son esprit “qu’elle soit belle seulement pour son mari”. Dans l’édition de cette semaine de Sept Days, l’ancienne chargée de cours d’université raconte son interview avec un journaliste local, dont les premiers mots furent la « situation en Afghanistan est terrible »

Sept Days s’attend à un public majoritairement à un public sinophone. Cependant, la série d’articles de HU Xian rejoint définitevement le public général : « Nous avons une opinion; nous payons des taxes aussi! Ce qu’on veut dire c’est qu’on existe aussi. »

HU Xian donnera une conférence à l’auditorium de 200 places au Centre Culturel de Montréal dans le Quartier Chinois (1088 Clark). Elle a pris plus d’une centaine de photos à Kaboul, dont quelques-unes seront présentées lors de l’événement. 10 février 2008, de 15 h à 17 h. Les billets sont 20$ en prévente, et 30$ à la porte. Moitié-prix pour les étudiants. Information (Fichier PDF).

Cinéma Sun Ko Wah 新國華

Posted on

It was through a quick search to see whether the Sun Ko Wah (新國華) boutique and bookstore on this picture still existed (it probably does), that I realized that Chinatown’s now-defunct cinema on St-Laurent Boulevard (near René-Lévesque) was also called the Sun Ko Wah! Yes, according to infos on the web, this cinema existed between … Continue reading “Cinéma Sun Ko Wah 新國華”

Sun Ko Wah : La Librairie Chinoise

It was through a quick search to see whether the Sun Ko Wah (新國華) boutique and bookstore on this picture still existed (it probably does), that I realized that Chinatown’s now-defunct cinema on St-Laurent Boulevard (near René-Lévesque) was also called the Sun Ko Wah! Yes, according to infos on the web, this cinema existed between 1989 and 1995. My memories seem to point to a much earlier period, but the end of it may indeed be 1995, year of the exodus for many Montreal Chinese of previous immigration waves.

In any case, I was still too young in 1995 to go to a movie theatre (and remember really wanting to go to it, despite my young age), and never ventured inside this manifestation of the micro and ethnic cinema in Montreal. When I got old enough to go see a movie by myself, the Sun Ko Wah Cinema became a jewelry shop. Was left behind, a different business at around the same civic number on Clark Street, bearing the exact same name.